Durant 2 jours, près de 80 participants ont débattu des enjeux actuels de l’aide humanitaire. Qu’ils soient membres d’ONG, représentants des pouvoirs public français, allemand ou de la Commission européenne, chercheurs, représentants d’Agences des Nations Unies, etc. tous avaient à débattre des mêmes difficultés rencontrées sur les terrains de crises pour rechercher ensemble des pistes d’amélioration pour le futur.

En effet, les situations de crises humanitaires et de catastrophe se multiplient dans un contexte de crise économique, ce qui pousse à toujours mieux utiliser les ressources disponibles. Et s’il faut donc réfléchir à l’économie de moyens et si le secteur de l’aide s’est professionnalisé et structuré ces dernières années, il ne faut pourtant pas oublier l’élan de solidarité à l’origine de l’aide humanitaire et ne pas s’enfermer dans des procédures ou se laisser piéger par la bureaucratisation. Remettre toujours l’humain au cœur de l’humanitaire a été le fil rouge de toutes les discussions durant ces 2 jours.