Les crises peuvent être liées à la dégradation de l’environnement et/ou contribuer à cette dégradation. A l’inverse, un environnement préservé facilite la sortie de crise et la résilience des populations. En outre, la réponse humanitaire elle-même peut avoir un impact négatif sur l’environnement qu’il faut impérativement prendre en compte et minimiser selon le principe du « Do no harm » (Ne pas nuire).

Cette visioconférence de deux heures (de 17.30 à 19.30) sera composée pour moitié de présentations de Melle Brangeon, référente environnement du Groupe URD, puis de questions avec les participants en ligne.

Elle se déroulera sur la plateforme Teams. Le lien de connexion vous sera envoyé sur l’adresse donnée lors de votre inscription.