Financé par

OXFAM

Créé en 2011 pour accueillir les réfugiés de la crise syrienne, le camp de Za’atari est le plus large camp de réfugiés de la région, regroupant près de 80 000 personnes, et se transforme peu à peu en camp permanent. On estime que 750 m3 de déchets y sont générés chaque semaine. La gestion des déchets se fait à travers un système de collecte des déchets financé par les acteurs de la solidarité internationale et leur élimination dans le centre d’enfouissement public.

Pour analyser ces enjeu dans le détail, le Groupe URD s’est concentré sur :

  • L’évaluation du potentiel et de la volonté des entreprises de recyclage locales à participer et/ou à mettre en œuvre les initiatives imaginées par l’administration du camp ;
  • L’identification des acteurs les plus qualifiés et proches des critères de sélection prévus, et des risques éventuels liés à chacun d’entre eux ;
  • L’estimation de la quantité de déchets produite chaque semaine.

L’objectif de cette étude fut d’augmenter le recyclage des déchets et par conséquent de réduire le volume de déchets à éliminer.

Cette étude s’est par ailleurs intéressée aux avantages et désavantages à collaborer avec chacune. Elle a en outre analysé la composition des déchets générés dans le camp et la part des déchets recyclables, et évalué la faisabilité du recyclage des déchets du camp de Za’atari sur les plans économique et financier.

Réalisé par

Samantha Brangeon

Référente du volet "Environnement" (2015-2021)